La Pénélope du pissenlit…

Recette de la gelée de pissenlits

365 fleurs de pissenlits
1 kg de sucre
1 litre d'eau froide
2 oranges
2 citrons

Simple à réaliser, le plus fastidieux étant de cueillir les pissenlits mais surtout d'enlever le jaune des fleurs !
— bien laver les fleurs, puis les sécher
— couper les citrons et les oranges en petits morceaux
— les jeter dans la marmite d'eau et y ajouter les fleurs
— faire cuire à feu doux pendant une heure
— filtrer le tout à l'aide d'une mousseline, presser
— y ajouter le sucre
— faire cuire 45 mn à petit bouillon
— mettre en pots 

Concert à Lanau : le dernier de l'hiver 2017/18

Dernier dimanche de l'hiver

d'après le calendrier !

Et dernier concert à Lanau,

avec le DJAZT QUARTET !

Sur la scène,

quatre musiciens de Toulouse !

Batterie, saxo, basse et piano !

Plus 'une heure de bon jazz !

DJAZT  est un quartet de jazz fondé il y a 10 ans par des amateurs passionnés.

DJAZT  c’est aussi quatre générations de musiciens ou chacun apporte son expérience et participe aux arrangements.

DJAZT  interprète et revisite aussi bien des standards que des morceaux plus contemporains.

Chaque concert est l’occasion de faire partager au public cette passion commune.

Escapade parisienne…

Une chambre en Inde

Ariane Mnouchkine : le rire (et le théâtre)

pour combattre l'horreur

À la Cartoucherie - Théâtre du Soleil

Corot, le peintre et ses modèles

Musée Marmottan Monet

Le Casque d'or

Sur la paisible et piétonne rue Saint Blaise, une table colorée, dans un cadre chômeur, sa terrasse face aux pavés, non loin de l'église de Saint Pierre de Charonne où Georges Lautner tourna la fin des Tontons Flingueurs, a des allures mi contemporaines, mi champêtres…

Nous l'avons apprécié en soirée et à midi…

Notre cantine dans le vingtième,
à deux pas de notre résidence avenue Cavour

http://www.gillespudlowski.com/118817/restaurants/paris-20e-la-simplicite-du-casque-dor

Deux lutins à Lanau

Printemps des poètes 2018

L'ardeur

Les miroirs ?

                     On les traversera.

Dans la nuit des poèmes. Ou celle des images. Quand l’œil fend les paupières et la langue les secrets. Vers quel jour ?

Un jour de nom mortel dont on ne sait rien
que cette saveur de terre.

Un jour de grand soleil, d’orties orageuses et de roses muettes. Un jour à jeter l’épervier sur nos eaux périssables, nos rivières aux présents menacés, pour quelques poignées de ciel.

Et libre rivière, passer !

Alain Freixe